Afdi accompagne 60 organisations paysannes partenaires
dans 17 pays en développement
Afdi accompagne 60 organisations paysannes partenaires
dans 17 pays en développement
Prenant en compte le plan stratégique de la FEPA-B et les orientations stratégiques d’Afdi, ce partenariat renforce la promotion de l’agriculture familiale au travers de services adéquats aux membres. Les initiatives qui améliorent l’autonomie économique des membres sont soutenues au travers de dotations servant à financer du conseil agricole, des formations, des échanges, de l’accompagnement à l’installation des jeunes…La veille sur les enjeux nationaux et sous régionaux, utile pour restaurer la crédibilité technique, politique et institutionnelle, sert également à fournir des éléments d’informations nécessaires à Afdi Pays de la Loire pour mettre en œuvre sa mission de sensibilisation et d’information des ruraux français de la région.
Le Burkina Faso a une population de 16,8 millions d’habitants avec un PIB de 12 milliards de dollars auquel l’agriculture contribue pour 35,3/% (Banque Mondiale, 2012). Son Indice de développement humain (IDH) le classe 183ème sur 187 pays en 2013 et 82% de sa population active vit en milieu rural, parmi lesquels 81,7% n’ont aucune instruction (RNDH BF PNUD, 2012).
Le développement de son agriculture est marqué, depuis la crise alimentaire de 2008, par le retour de l’État dans les secteurs productifs, qui se traduit par un appui en moyens de production surtout dans le domaine de la riziculture ; les organisations paysannes en sont les leviers. Elles sont devenues des actrices incontournables dans le processus de développement agricole par leur contribution à la mise en œuvre de la politique étatique. Cependant, l’accompagnement de ces organisations, tant au niveau national qu’au niveau régional, et la consolidation des services à leurs membres restent un défi majeur pour renforcer leur ancrage dans le paysage politique du pays.
Le partenariat Afdi/FNGN s’attache au développement des activités visant à l’autosuffisance alimentaire et à la création de revenus pour les paysans. Les initiatives des organisations partenaires qui améliorent l’autonomie économique de leurs membres sont soutenues au travers de dotations servant à financer du conseil agricole, des formations, des échanges, de l’accompagnement à l’installation des jeunes… Accentuer nos efforts dans le but d’améliorer la défense de l’agriculture familiale en misant notamment sur le renforcement de la structuration paysanne à tous les niveaux (local, départemental, provincial, national) reste un fil conducteur indéfectible de ce partenariat.
Le Burkina Faso a une population de 20 millions d’habitants avec un PIB de 12 milliards de dollars auquel l’agriculture contribue pour 35,3/% (Banque Mondiale, 2012). Son Indice de développement humain (IDH) le classe 183ème sur 187 pays en 2013 et 82% de sa population active vit en milieu rural, parmi lesquels 81,7% n’ont aucune instruction (RNDH BF PNUD, 2012).
Le développement de son agriculture est marqué, depuis la crise alimentaire de 2008, par le retour de l’État dans les secteurs productifs, qui se traduit par un appui en moyens de production surtout dans le domaine de la riziculture ; les organisations paysannes en sont les leviers. Elles sont devenues des actrices incontournables dans le processus de développement agricole par leur contribution à la mise en œuvre de la politique étatique. Cependant, l’accompagnement de ces organisations, tant au niveau national qu’au niveau régional, et la consolidation des services à leurs membres restent un défi majeur pour renforcer leur ancrage dans le paysage politique du pays.
L’UCRB a été mise en place par les coopératives villageoises pour mutualiser un certain nombre de services aux membres, tels l’organisation de la gestion de l’eau et du réseau hydraulique, de l’approvisionnement en intrants et équipements agricoles, la commercialisation et la promotion du riz local auprès des consommateurs… Le partenariat Afdi/UCRB vise à renforcer les capacités de l’Union pour la mise en place et la gestion de ces services. Cela passe par l’élaboration et le partage avec les membres d’une vision commune et d’un plan stratégique et par l’amélioration de ses capacités de gestion et de son autonomie financière.
Le Burkina Faso a une population de 16,8 millions d’habitants avec un PIB de 12 milliards de dollars auquel l’agriculture contribue pour 35,3/% (Banque Mondiale, 2012). Son Indice de développement humain (IDH) le classe 183ème sur 187 pays en 2013 et 82% de sa population active vit en milieu rural, parmi lesquels 81,7% n’ont aucune instruction (RNDH BF PNUD, 2012).
Le développement de son agriculture est marqué, depuis la crise alimentaire de 2008, par le retour de l’État dans les secteurs productifs, qui se traduit par un appui en moyens de production surtout dans le domaine de la riziculture ; les organisations paysannes en sont les leviers. Elles sont devenues des actrices incontournables dans le processus de développement agricole par leur contribution à la mise en œuvre de la politique étatique. Cependant, l’accompagnement de ces organisations, tant au niveau national qu’au niveau régional, et la consolidation des services à leurs membres restent un défi majeur pour renforcer leur ancrage dans le paysage politique du pays.
Afdi partenaire : Paris (siège)
Bureau international Afdi : https://www.afdi-opa.org/
Site internet : https://www.afdi-opa.org/
Afdi partenaire : Occitanie
Afdi partenaire : Burkina-Faso
Le partenariat Afdi/CPF vise à accompagner la Confédération dans sa volonté de contribuer au débat sur les politiques agricoles de son pays à partir de propositions structurées, argumentées et partagées avec ses membres : participer au programme national du secteur rural (PNSR), porter des propositions paysannes au sein du projet de loi d’orientation agro-sylvo- pastorale (LOASP), se positionner dans les interprofessions agricoles, faire des propositions lors de la relecture de la loi coopérative, sur la sécurisation foncière, etc.
Pour lui permettre d’être présente sur tous ces fronts, Afdi soutient les ressources humaines et le fonctionnement de la CPF par la consolidation d’une équipe salariée, la formation des élus, la mobilisation d’expertise issue des organisations paysannes françaises.
Le Burkina Faso a une population de 16,8 millions d’habitants avec un PIB de 12 milliards de dollars auquel l’agriculture contribue pour 35,3/% (Banque Mondiale, 2012). Son Indice de développement humain (IDH) le classe 183ème sur 187 pays en 2013 et 82% de sa population active vit en milieu rural, parmi lesquels 81,7% n’ont aucune instruction (RNDH BF PNUD, 2012).
Le développement de son agriculture est marqué, depuis la crise alimentaire de 2008, par le retour de l’État dans les secteurs productifs, qui se traduit par un appui en moyens de production surtout dans le domaine de la riziculture ; les organisations paysannes en sont les leviers. Elles sont devenues des actrices incontournables dans le processus de développement agricole par leur contribution à la mise en œuvre de la politique étatique. Cependant, l’accompagnement de ces organisations, tant au niveau national qu’au niveau régional, et la consolidation des services à leurs membres restent un défi majeur pour renforcer leur ancrage dans le paysage politique du pays.
Facebook : /Confédération-Paysanne-du-Faso
Afdi partenaire : Paris (siège)
Bureau international Afdi : https://www.afdi-opa.org/
Site internet : https://www.afdi-opa.org/
Afdi partenaire : Burkina-Faso
Le partenariat Afdi/UMPL-B a pour objectif de soutenir l’union dans sa volonté de défendre les intérêts de ses membres et de promouvoir un lait local de qualité. Les actions engagées permettent à l’union de répondre aux attentes de ses membres. Elles permettent aussi de positionner l’Union comme actrice incontournable de la filière laitière. Toutes ces actions ont un même but : défendre, promouvoir et développer la filière de lait locale. Depuis deux ans, l’UMPL/B participe à de nombreuses action de promotion (foires, articles de presse, …) et organise, en lien avec les services de l’Etat, les journées de promotion du lait…
Afdi contribue également au fonctionnement de l’Union, par un appui aux ressources humaines (élus et salariés) , un appui institutionnel et à la vie associative de l’organisation. En facilitant les missions, Afdi cherche à développer l’échange entre paysans et ainsi à accompagner l’UMPL-B dans sa réflexion stratégique.
Le Burkina Faso a une population de 20,32 millions d’habitants avec un PIB de 15,75 milliards de dollars auquel l’agriculture contribue pour 30% (Banque Mondiale, 2019). Son Indice de développement humain (IDH) le classe 183ème sur 187 pays en 2018 et 70% de sa population active vit en milieu rural.
Les grands défis du gouvernement sont d’ordre sécuritaire, socioéconomique et enfin judiciaire. Son économie, très agricole (30 % du PIB, 80 % des emplois) est dépendante des précipitations. L’adaptation au changement climatique est à cet égard un véritable enjeu sur lequel le pays est pionnier en Afrique, tout comme sur les énergies renouvelables. Le Burkina Faso reste un des premiers producteurs de coton d’Afrique (4e place en 2018-2019). (Source : France Diplomatie)
Voir la vidéo des actions d’Afdi Normandie au Burkina Faso !
Afdi partenaire : Normandie
Bureau international Afdi : https://www.helloasso.com/associations/afdi-normandie/adhesions/cotisation-individuelle
Site internet : https://www.helloasso.com/associations/afdi-normandie/adhesions/cotisation-individuelle
Afdi partenaire : AuRA (Auvergne-Rhône-Alpes)
La demande de la coopérative de Terrena auprès d’Afdi Pays de la Loire a concerné un approvisionnement en soja bio pour sa filière volailles bio : Il manque 60 000 tonnes par an de protéines bio à la filière volailles bio française (cela va s’accentuer lorsque la dérogation qui autorise 5% de matières 1ères végétales issues de l’agri conventionnelle dans l’alimentation des volailles AB sera obsolète : 31/12/2020). La protéine soja est la plus adaptée à ce jour. La demande précise de Terrena auprès d’Afdi : « Les partenaires Burkinabè d’Afdi seraient ils intéressés pour produire du soja bio pour l’exportation ? »
Après concertation avec l’interprofession soja du Burkina Faso, 2 OP ont souhaités relever le défi. La FEPAB et la Copsa-C. Une première expérimentation à petite échelle a consisté à sélectionner 130 producteurs dans les 2 OP, les former aux pratiques et processus bio. Un travail sur la question des prix, la contractualisation avec les producteurs, la gestion des stocks en attendant la reprise par le transitaire a aussi été effectué avec l’appui conseil d’Afdi et de Terrena. 100 tonnes de graines ont été certifiées et expédiées.
La production nationale de soja en 2019 est estimée à 30 000 tonnes. Le souhait du Ministère de l’agriculture est d’atteindre 120 000 tonnes d’ici 2022 pour assurer la demande nationale (humaine et animale). Outre le marché national, certains opérateurs Burkinabè souhaiteraient fournir le marché de la Côte d’Ivoire qui frôle chaque année 60 000 t pour l’alimentation des volailles, jusqu’ici alimenté largement par les producteurs sud-américains.
Les cultures de soja sont pratiquées dans le sud-ouest du pays, moins peuplé et ou des réserves foncières existent. Le soja est une culture de saison des pluies et ne bénéficie d’aucune irrigation. La production est familiale sur des petits lopins de terre. La dynamique en bio nécessite des pratiques adaptées et précautionneuses par rapport aux sols et à l’environnement. Le soja est aussi une légumineuse intéressante comme alternative de rotation et de substitution par endroit au coton.