Afdi accompagne 60 organisations paysannes partenaires
dans 17 pays en développement
Afdi accompagne 60 organisations paysannes partenaires
dans 17 pays en développement
Afdi Bretagne accompagne le développement agricole dans la région du Bongolava depuis 1993. En 2001, plusieurs groupements de paysans s’unissent pour créer l’Apdip, dont l’objectif premier est d’améliorer les conditions de vie des paysans de la région. Très dynamique, cette organisation paysanne propose une large palette de services à ses membres: formation à la responsabilité, innovations dans le petit élevage, la pisciculture, le conseil technique. Depuis peu, Apdip est une organisation de référence pour son action en faveur de l’installation de jeunes agriculteurs et agricultrices.
Entre 2009 et 2013, Madagascar a connu une importante crise politique qui, dans un contexte mondial de crise économique, a eu un impact sévère sur le développement socio-économique du pays. De la 145ème position en 2009, Madagascar est passé en 2013 au 151ème rang d’Indice de développement humain (IDH). La Banque mondiale estimait en juin 2013, que 92% de la population malgache vivait avec moins de 2$/jour.
La croissance est fortement tirée par les secteurs minier, du textile et des technologies de l’information et de la communication. La contribution du secteur agricole au développement du pays, bien que limitée au regard des potentialités, est importante : 30% du PIB ; il emploie 80% de la population active.
L’agriculture est tournée majoritairement vers des productions vivrières, dont le riz représente la production principale. Les rendements restent relativement faibles et la majorité des exploitations, de type familial, ont une utilisation d’intrants et un niveau de mécanisation limités. Faute d’infrastructures, moins de 10% des terres cultivables sont effectivement cultivées. Les productions animales progressent peu et l’agro-industrie – sucre, coton fibre, huile… – est également en profonde restructuration. En parallèle, les filières d’exportation – crevettes, litchi, épices – contribuent à une importante rentrée de devises. Les assauts réguliers des aléas climatiques (sécheresse, cyclones, criquets, etc.) contribuent à aggraver le niveau d’insécurité alimentaire d’une partie du pays.
C’est à la demande du Conseil général du Finistère qu’Afdi Bretagne a démarré un soutien au monde paysan de la région de Diégo Suarez à Madagascar. Après un important travail d’animation auprès des producteurs de la zone, l’Union Matanjaka a été créée dans le souci d’offrir des services d’approvisionnement et de conseil aux paysans. Afdi soutient cette organisation paysanne dans sa capacité à structurer les filières fruits, légumes et petit élevage afin de conquérir le marché urbain de la ville de Diégo.
Entre 2009 et 2013, Madagascar a connu une importante crise politique qui, dans un contexte mondial de crise économique, a eu un impact sévère sur le développement socio-économique du pays. De la 145ème position en 2009, Madagascar est passé en 2013 au 151ème rang d’Indice de développement humain (IDH). La Banque mondiale estimait en juin 2013, que 92% de la population malgache vivait avec moins de 2$/jour.
La croissance est fortement tirée par les secteurs minier, du textile et des technologies de l’information et de la communication. La contribution du secteur agricole au développement du pays, bien que limitée au regard des potentialités, est importante : 30% du PIB ; il emploie 80% de la population active.
L’agriculture est tournée majoritairement vers des productions vivrières, dont le riz représente la production principale. Les rendements restent relativement faibles et la majorité des exploitations, de type familial, ont une utilisation d’intrants et un niveau de mécanisation limités. Faute d’infrastructures, moins de 10% des terres cultivables sont effectivement cultivées. Les productions animales progressent peu et l’agro-industrie – sucre, coton fibre, huile… – est également en profonde restructuration. En parallèle, les filières d’exportation – crevettes, litchi, épices – contribuent à une importante rentrée de devises. Les assauts réguliers des aléas climatiques (sécheresse, cyclones, criquets, etc.) contribuent à aggraver le niveau d’insécurité alimentaire d’une partie du pays.
Cette organisation de producteurs a pour objectif de développer des services aux paysans sur cinq filières (riz, pois du Cap, miel, pisciculture et maraîchage), défendre leurs intérêts au niveau régional et faire reconnaitre les compétences de leurs organisations, notamment en termes de production de semences. Afdi Centre Val-de-Loire soutient particulièrement un groupement d’apiculteurs de la région du Ménabé. Améliorer la sécurité alimentaire et les revenus de ces producteurs et les accompagner dans leurs réflexions et méthodes ont rapidement été des axes du partenariat, qui s’est tourné vers l’amélioration d’une filière existante et prometteuse sur ce territoire: l’apiculture.
Par ailleurs, un accent particulier est porté sur la protection de l’environnement. Grâce à un appui technique, la pratique de récolte du miel (api-cueillette qui consiste à abattre un arbre afin de récupérer le miel) se modifie progressivement pour laisser place à la mise en place de ruches permettant de limiter l’abattage des arbres et de conserver l’essaim d’une récolte à l’autre.
Entre 2009 et 2013, Madagascar a connu une importante crise politique qui, dans un contexte mondial de crise économique, a eu un impact sévère sur le développement socio-économique du pays. De la 145ème position en 2009, Madagascar est passé en 2013 au 151ème rang d’Indice de développement humain (IDH). La Banque mondiale estimait en juin 2013, que 92% de la population malgache vivait avec moins de 2$/jour.
La croissance est fortement tirée par les secteurs minier, du textile et des technologies de l’information et de la communication. La contribution du secteur agricole au développement du pays, bien que limitée au regard des potentialités, est importante : 30% du PIB ; il emploie 80% de la population active.
L’agriculture est tournée majoritairement vers des productions vivrières, dont le riz représente la production principale. Les rendements restent relativement faibles et la majorité des exploitations, de type familial, ont une utilisation d’intrants et un niveau de mécanisation limités. Faute d’infrastructures, moins de 10% des terres cultivables sont effectivement cultivées. Les productions animales progressent peu et l’agro-industrie – sucre, coton fibre, huile… – est également en profonde restructuration. En parallèle, les filières d’exportation – crevettes, litchi, épices – contribuent à une importante rentrée de devises. Les assauts réguliers des aléas climatiques (sécheresse, cyclones, criquets, etc.) contribuent à aggraver le niveau d’insécurité alimentaire d’une partie du pays.
Afdi accompagne cette Union de producteurs de cacao dans le développement et la structuration d’une filière cacao durable. Plusieurs actions ont été menées de front ces dix dernières années pour permettre aux producteurs de produire un cacao de qualité, certifié et rémunérateur.
Cette organisation paysanne a la volonté de renforcer ses compétences pour assurer pleinement son rôle de leader de la filière cacao. Afin de mener à bien ce partenariat, Afdi Hauts de France a mobilisé les coopératives agricoles Acolyance et Céréna ainsi que l’organisme Rainforest Alliance.
En parallèle des actions sur la filière cacao, un projet d’adduction d’eau potable et d’assainissement est mené dans les villages où sont présentes les coopératives cacao de l’UCLS.
Entre 2009 et 2013, Madagascar a connu une importante crise politique qui, dans un contexte mondial de crise économique, a eu un impact sévère sur le développement socio-économique du pays. De la 145ème position en 2009, Madagascar est passé en 2013 au 151ème rang d’Indice de développement humain (IDH). La Banque mondiale estimait en juin 2013, que 92% de la population malgache vivait avec moins de 2$/jour.
La croissance est fortement tirée par les secteurs minier, du textile et des technologies de l’information et de la communication. La contribution du secteur agricole au développement du pays, bien que limitée au regard des potentialités, est importante : 30% du PIB ; il emploie 80% de la population active.
L’agriculture est tournée majoritairement vers des productions vivrières, dont le riz représente la production principale. Les rendements restent relativement faibles et la majorité des exploitations, de type familial, ont une utilisation d’intrants et un niveau de mécanisation limités. Faute d’infrastructures, moins de 10% des terres cultivables sont effectivement cultivées. Les productions animales progressent peu et l’agro-industrie – sucre, coton fibre, huile… – est également en profonde restructuration. En parallèle, les filières d’exportation – crevettes, litchi, épices – contribuent à une importante rentrée de devises. Les assauts réguliers des aléas climatiques (sécheresse, cyclones, criquets, etc.) contribuent à aggraver le niveau d’insécurité alimentaire d’une partie du pays.
Hita Menabe est un réseau maraîcher de 290 membres situé dans la région centrale du Menabe près du canal du Mozambique. Une trentaine de groupements villageois sont en activité, avec un profil marqué par l’appartenance à la même famille qui en font des groupements familiaux. Les légumes produits sont très sensiblement les mêmes qu’en France, qu’il s’agisse des salades, carottes, choux, poivrons et autres courgettes… Le projet professionnel s’articule autour du développement de la production de légumes en contre-saison pour une vente sur les marchés locaux, pour accroître les revenus.
L’appui à cette organisation paysanne repose sur le plan technique, par des visites/échanges entre groupements, la diffusion des expériences réussies dans un groupement suscitant une envie de reproduire le modèle dans les autres villages. Ces visites/échanges s’organisent désormais hors de la région du Menabe, à Madagascar dans les bassins de production du maraîchage.
Entre 2009 et 2013, Madagascar a connu une importante crise politique qui, dans un contexte mondial de crise économique, a eu un impact sévère sur le développement socio-économique du pays. De la 145ème position en 2009, Madagascar est passé en 2013 au 151ème rang d’Indice de développement humain (IDH). La Banque mondiale estimait en juin 2013, que 92% de la population malgache vivait avec moins de 2$/jour.
La croissance est fortement tirée par les secteurs minier, du textile et des technologies de l’information et de la communication. La contribution du secteur agricole au développement du pays, bien que limitée au regard des potentialités, est importante : 30% du PIB ; il emploie 80% de la population active.
L’agriculture est tournée majoritairement vers des productions vivrières, dont le riz représente la production principale. Les rendements restent relativement faibles et la majorité des exploitations, de type familial, ont une utilisation d’intrants et un niveau de mécanisation limités. Faute d’infrastructures, moins de 10% des terres cultivables sont effectivement cultivées. Les productions animales progressent peu et l’agro-industrie – sucre, coton fibre, huile… – est également en profonde restructuration. En parallèle, les filières d’exportation – crevettes, litchi, épices – contribuent à une importante rentrée de devises. Les assauts réguliers des aléas climatiques (sécheresse, cyclones, criquets, etc.) contribuent à aggraver le niveau d’insécurité alimentaire d’une partie du pays.
Présente à Madagascar depuis 1993, Afdi a accompagné des organisations paysannes régionales, qui en 2003 ont pris l’initiative de créer le Réseau Soa. Les liens se sont tissés entre Afdi et le réseau Soa depuis sa création, et après une première phase d’accompagnement à sa structuration, Afdi travaille depuis 2012, sur le renforcement des capacités stratégiques et du poids politique du réseau. En particulier, Afdi et Soa ont travaillé étroitement sur la mise en place et la défense des dispositifs des Centres de services agricoles (CSA) et des Fonds régionaux de développement agricoles (FRDA) qui sont au cœur de la stratégie de services agricoles du Ministère de l’agriculture. Plus récemment, le Soa et Afdi ont développé une initiative pilote d’installation et d’insertion de jeunes agriculteurs.
Entre 2009 et 2013, Madagascar a connu une importante crise politique qui, dans un contexte mondial de crise économique, a eu un impact sévère sur le développement socio-économique du pays. De la 145ème position en 2009, Madagascar est passé en 2013 au 151ème rang d’Indice de développement humain (IDH). La Banque mondiale estimait en juin 2013, que 92% de la population malgache vivait avec moins de 2$/jour.
La croissance est fortement tirée par les secteurs minier, du textile et des technologies de l’information et de la communication. La contribution du secteur agricole au développement du pays, bien que limitée au regard des potentialités, est importante : 30% du PIB ; il emploie 80% de la population active.
L’agriculture est tournée majoritairement vers des productions vivrières, dont le riz représente la production principale. Les rendements restent relativement faibles et la majorité des exploitations, de type familial, ont une utilisation d’intrants et un niveau de mécanisation limités. Faute d’infrastructures, moins de 10% des terres cultivables sont effectivement cultivées. Les productions animales progressent peu et l’agro-industrie – sucre, coton fibre, huile… – est également en profonde restructuration. En parallèle, les filières d’exportation – crevettes, litchi, épices – contribuent à une importante rentrée de devises. Les assauts réguliers des aléas climatiques (sécheresse, cyclones, criquets, etc.) contribuent à aggraver le niveau d’insécurité alimentaire d’une partie du pays.
Afdi partenaire : Paris (siège)
Bureau international Afdi : https://www.afdi-opa.org/
Site internet : https://www.afdi-opa.org/
Afdi partenaire : Madagascar
Engagé depuis plus de 25 ans dans un partenariat avec les agriculteurs de Manakara, Afdi accompagne le développement de l’apiculture de cette région du sud est de Madagascar. Ce partenariat consiste à créer de la valeur ajoutée auprès des apiculteurs en développant l’apiculture moderne, en transformant du miel de qualité, en certifiant ce miel (label AB) et en le vendant à Madagascar et en France via des réseaux équitables.
Les objectifs du partenariat entre Afdi et KTTF sont d’accompagner la création de cette coopérative et son développement pour augmenter son nombre de membres (sensibilisation, formation…) et pour améliorer la qualité du miel produit et de l’approche commerciale. Pour cela, l’échange entre pairs (élus et salariés de coopératives ou de structures agricoles), l’accompagnement en termes d’expertise et l’investissement humain et matériel sont des moyens privilégiés.
En 2015, une association de développement de la filière miel (KTTF V7V) a été créée pour sensibiliser de nouveaux apiculteurs à entrer dans cette démarche d’accompagnement.
Entre 2009 et 2013, Madagascar a connu une importante crise politique qui, dans un contexte mondial de crise économique, a eu un impact sévère sur le développement socio-économique du pays. De la 145ème position en 2009, Madagascar est passé en 2013 au 151ème rang d’Indice de développement humain (IDH). La Banque mondiale estimait en juin 2013, que 92% de la population malgache vivait avec moins de 2$/jour.
La croissance est fortement tirée par les secteurs minier, du textile et des technologies de l’information et de la communication. La contribution du secteur agricole au développement du pays, bien que limitée au regard des potentialités, est importante : 30% du PIB ; il emploie 80% de la population active.
L’agriculture est tournée majoritairement vers des productions vivrières, dont le riz représente la production principale. Les rendements restent relativement faibles et la majorité des exploitations, de type familial, ont une utilisation d’intrants et un niveau de mécanisation limités. Faute d’infrastructures, moins de 10% des terres cultivables sont effectivement cultivées. Les productions animales progressent peu et l’agro-industrie – sucre, coton fibre, huile… – est également en profonde restructuration. En parallèle, les filières d’exportation – crevettes, litchi, épices – contribuent à une importante rentrée de devises. Les assauts réguliers des aléas climatiques (sécheresse, cyclones, criquets, etc.) contribuent à aggraver le niveau d’insécurité alimentaire d’une partie du pays.
D’abord orienté sur l’organisation et la structuration collective, le partenariat Afdi Bourgogne Franche-Comté/Cram s’est renforcé depuis quelques années par un accompagnement au développement de l’activité économique à travers la production de semences (riz irrigué, riz pluvial, haricot, potagère). Aujourd’hui, une quarantaine de producteurs permettent au Cram de commercialiser 70 tonnes de semences. Une réflexion est en cours pour mettre en place une action conjointe de commercialisation avec VFTM, autre organisation paysanne de la région Haute Matsiatra, partenaire d’Afdi Bourgogne Franche-Comté, aussi productrice de semences; l’enjeu étant le développement d’une filière semence structurée.
Entre 2009 et 2013, Madagascar a connu une importante crise politique qui, dans un contexte mondial de crise économique, a eu un impact sévère sur le développement socio-économique du pays. De la 145ème position en 2009, Madagascar est passé en 2013 au 151ème rang d’Indice de développement humain (IDH). La Banque mondiale estimait en juin 2013, que 92% de la population malgache vivait avec moins de 2$/jour.
La croissance est fortement tirée par les secteurs minier, du textile et des technologies de l’information et de la communication. La contribution du secteur agricole au développement du pays, bien que limitée au regard des potentialités, est importante : 30% du PIB ; il emploie 80% de la population active.
L’agriculture est tournée majoritairement vers des productions vivrières, dont le riz représente la production principale. Les rendements restent relativement faibles et la majorité des exploitations, de type familial, ont une utilisation d’intrants et un niveau de mécanisation limités. Faute d’infrastructures, moins de 10% des terres cultivables sont effectivement cultivées. Les productions animales progressent peu et l’agro-industrie – sucre, coton fibre, huile… – est également en profonde restructuration. En parallèle, les filières d’exportation – crevettes, litchi, épices – contribuent à une importante rentrée de devises. Les assauts réguliers des aléas climatiques (sécheresse, cyclones, criquets, etc.) contribuent à aggraver le niveau d’insécurité alimentaire d’une partie du pays.
En cours de rédaction, merci de votre compréhension
Dès sa création, Rofama s’est donnée pour objectif de développer la filière lait au niveau régional afin d’améliorer le niveau de vie des éleveurs. Afdi Bourgogne France-Comté l’accompagne dans ce sens à plusieurs niveaux: accompagnement à la structuration des coopératives, à la formation technique des éleveurs (alimentation, sanitaire, etc.) et au développement de l’activité commerciale (organisation des points de ventes, transformation fromagère, etc.). La coopérative fait face aujourd’hui à plusieurs enjeux: améliorer la conduite d’élevage pour augmenter le niveau de production des éleveurs et favoriser un approvisionnement plus régulier tout au long de l’année, fidéliser ses éleveurs (politique de prix) et améliorer les débouchés commerciaux (gestion des stocks).
Entre 2009 et 2013, Madagascar a connu une importante crise politique qui, dans un contexte mondial de crise économique, a eu un impact sévère sur le développement socio-économique du pays. De la 145ème position en 2009, Madagascar est passé en 2013 au 151ème rang d’Indice de développement humain (IDH). La Banque mondiale estimait en juin 2013, que 92% de la population malgache vivait avec moins de 2$/jour.
La croissance est fortement tirée par les secteurs minier, du textile et des technologies de l’information et de la communication. La contribution du secteur agricole au développement du pays, bien que limitée au regard des potentialités, est importante : 30% du PIB ; il emploie 80% de la population active.
L’agriculture est tournée majoritairement vers des productions vivrières, dont le riz représente la production principale. Les rendements restent relativement faibles et la majorité des exploitations, de type familial, ont une utilisation d’intrants et un niveau de mécanisation limités. Faute d’infrastructures, moins de 10% des terres cultivables sont effectivement cultivées. Les productions animales progressent peu et l’agro-industrie – sucre, coton fibre, huile… – est également en profonde restructuration. En parallèle, les filières d’exportation – crevettes, litchi, épices – contribuent à une importante rentrée de devises. Les assauts réguliers des aléas climatiques (sécheresse, cyclones, criquets, etc.) contribuent à aggraver le niveau d’insécurité alimentaire d’une partie du pays.
Organisation paysanne regroupant 17 organisations, l’action de VFTM, avec l’appui d’Afdi Bourgogne Franche-Comté, porte sur deux volets principaux: l’accompagnement au développement de filières agricoles structurées et la défense des intérêts des paysans. Elle intervient particulièrement sur l’accès au financement pour ses adhérents et sur les filières laitières et multiplication de semences. Elle développe depuis 3 ans l’activité semence et réfléchit actuellement à une commercialisation groupée de la semence avec le Cram, autre organisation paysanne de la région soutenue par Afdi Bourgogne Franche-Comté.
Entre 2009 et 2013, Madagascar a connu une importante crise politique qui, dans un contexte mondial de crise économique, a eu un impact sévère sur le développement socio-économique du pays. De la 145ème position en 2009, Madagascar est passé en 2013 au 151ème rang d’Indice de développement humain (IDH). La Banque mondiale estimait en juin 2013, que 92% de la population malgache vivait avec moins de 2$/jour.
La croissance est fortement tirée par les secteurs minier, du textile et des technologies de l’information et de la communication. La contribution du secteur agricole au développement du pays, bien que limitée au regard des potentialités, est importante : 30% du PIB ; il emploie 80% de la population active.
L’agriculture est tournée majoritairement vers des productions vivrières, dont le riz représente la production principale. Les rendements restent relativement faibles et la majorité des exploitations, de type familial, ont une utilisation d’intrants et un niveau de mécanisation limités. Faute d’infrastructures, moins de 10% des terres cultivables sont effectivement cultivées. Les productions animales progressent peu et l’agro-industrie – sucre, coton fibre, huile… – est également en profonde restructuration. En parallèle, les filières d’exportation – crevettes, litchi, épices – contribuent à une importante rentrée de devises. Les assauts réguliers des aléas climatiques (sécheresse, cyclones, criquets, etc.) contribuent à aggraver le niveau d’insécurité alimentaire d’une partie du pays.